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Le Racing-Métro 92

 

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 19:42

C’est la question devenue primordiale aujourd’hui. Même si on n'est pas d'accord. Elle conditionne tout pour une structure qui s’appuie sur la dette pour vivre. Une bonne note garantit une financiarisation de ses projets à venir, un bon positionnement sur les marchés pour trouver de l’argent au meilleur coût et des perspectives assurées pour financer sa croissance. On en parle pour notre pays, pour les banques, pour les entreprises et… pour les collectivités locales. Qu’en est-il pour Colombes ?
Examinons la situation financière de notre commune au moyen de quelques critères clefs. Le premier, l’endettement en lui-même. Presque 153 Millions d’euros empruntés au 31 décembre 2010. 11 millions d’euros par an de remboursement. Le coût d’une nouvelle école… Et je ne parle que des comptes stricts de la commune. Il faudrait ajouter les dettes liées aux organismes périphériques (CODEVAM, Cuisine centrale…). Ensuite, la nature de cette dette. Là se trouve un autre problème. Environ 9 emprunts sur 10 sont à taux variables. Tant mieux ? Aujourd’hui. Ils ne coûtent presque rien en intérêt. Mais demain ? Et si les taux remontaient…
AAA_rating_cracked_200.jpgLe second critère repose sur la qualité de gestion de notre budget. J’entends par là, la façon dont la rigueur est appliquée à la gestion municipale. Notre ville ne peut pas vivre en dehors d’un contexte de crise exigeant la réduction de ses dépenses. Colombes est-elle gérée dans le sillage de nos politiques publiques nationales, ou bien fait-elle l’objet d’une stratégie à contre-courant ? Les dépenses de fonctionnement augmentent d’année en année, sans prendre en compte les politiques d’économies. A Colombes, elles représentent près de 1500€ par Colombien (+7.8 % depuis 2008), quand ailleurs, en moyenne, elles ne dépassent pas 1377€. Cette absence de volonté de contenir les dépenses locales pose un vrai problème. On ne peut faire comme si Colombes était isolée de la crise mondiale. Si on est responsable devant le contribuable colombien, il faut entreprendre en urgence un plan d’austérité et d’économies draconiennes.
Ensuite, portons notre regard sur les perspectives d’avenir, de croissance de notre ville. Les recettes et les projets de nouvelles ressources. Là aussi, les projections ne sont pas bonnes. Thalès nous quitte. Et la municipalité est loin de prétendre enrichir notre budget communal grâce des ressources supplémentaires (je pense principalement à de grands plans d’arrivée de nouvelles entreprises, de nouvelles activités génératrices de recettes fiscales). Donc, sans définir une stratégie de recherche et d’augmentation des ressources propres, la municipalité réclame de la péréquation, de la DGF, compte sur l’Etat pour renflouer ses caisses… Mais L’Etat n’a plus d’argent !
Alors, Colombes ? Triple A ? Cette question devient centrale à l’heure où le crédit se resserre et où les collectivités auront de plus en plus de mal à se financer au moindre coût. Les moins vertueuses auront, en plus, à payer de plus en plus cher leur assurance…
Mais c’est aussi et surtout, une véritable révolution politique qu’il faut entamer à Colombes. Faire un inventaire des missions municipales. Et choisir quelle priorité il faudra conserver et amplifier.
Pour ma part, cet exercice doit viser à dégager des marges de manœuvre pour le budget municipal, lui assigner des objectifs nouveaux à remplir, certes. Mais il doit aussi permettre la réduction de la ponction fiscale sur les Colombiens. Indispensable pour rendre une dynamique à notre ville, la rendre plus attractive, au moment où la concurrence avec les autres communes du 92 va se durcir pour accueillir les meilleurs pourvoyeurs de recettes fiscales.
Bonne rentrée à tous !

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 16:22

holiday.jpgEt rendez-vous à la Rentrée !

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8 juillet 2011 5 08 /07 /juillet /2011 00:59

chasseur2La municipalité a ouvert la chasse aux voitures. Et n’entend pas s’arrêter en si bon chemin… Après la mise en sens unique de certaines rues, l’extension du stationnement payant, la rue Saint-Denis piétonne, le maire s’attaque à la rue de la Fraternité. Pourtant avec un nom pareil, il ne devrait pas y avoir de conflit…

Ainsi, rue de la Fraternité, il a été décidé de fixer le stationnement en chicane :
- du côté pair dans la section de rue comprise entre le boulevard de Valmy et la rue Labouret
- du côté impair dans la section de rue comprise entre la rue Labouret et les rues Desmont Dupont et Glycines.

Le marquage au sol des emplacements de stationnement sera réalisé au cours de l’été, nous dit-on…
Faisons le bilan. Aujourd’hui, 38 emplacements sont disponibles. Après la « réorganisation du stationnement », il n’y en aura plus que 19… Moitié moins donc.
Dommage pour une rue qui sert de frontière à la zone de stationnement payant, au Nord, et qui présente la particularité d’être bordée d’immeubles… sans parking. Après le 1er juin, avec l’extension du stationnement payant, la rue de la Fraternité s’est trouvée saturée. Grâce à ce nouveau dispositif, plus de problème. Comme par miracle tout sera réglé. Pas pour l’automobiliste qui de plus d’être racketté, se trouve aujourd’hui traqué comme du gibier.
Il ira se cacher rue Labouret, rue Desmont Dupont, rue Besson et alentours. En attendant que ce soit le tour de ces nouvelles rues…

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 21:15

cedis.jpgVous connaissez le Cedis (Centre d’écodéveloppement et d’initiative sociale)? C'est un centre agréé de formation pour élus locaux, nous apprennent-ils sur leur site. Le directeur ? Jean-Vincent Placé. Vous connaissez , Le numéro 2 des Verts. Tiens tiens... Et l'université d'été du Cedis, du 17 au 20 août 2010, semblait un véritable moment de formation avec un programme très chargé. Et les 4 élus écolos de Colombes, inscrits par la municipalité, pour la modique somme de 4000 € semblaient véritablement animés par l'envie d'apprendre pour le plus grand bénéfice des Colombiens qui ont payé leur séjour.

Et alors ? Eh bien, juste un problème. Cette formation financée par les deniers publics se tenait - oh comble du hasard ! - au même endroit et au même moment que l'université d'été des Verts, à l'université de Nantes...Ah, non pas tout à fait, une journée de plus...

Les élus Verts, conseillers municipaux et adjoints au Maire, doivent rembourser cette participation cachée à l'université de leur parti. Les impôts colombiens ne doivent pas servir à payer leur activité politique et à financer leur parti.

On se rappelle que certains partis de la municipalité avaient déja fait fabriquer sur les fonds publics une banderole qui avait été accrochée sur l'hôtel de ville et que la commune avait financé des cars pour que des employés municipaux se rendent à la manifestation contre la réforme de la retraite. Face à la levée de bouclier, le Maire avait alors reculé et demandé que les partis remboursent.

Visiblement, l'avertissement n'a pas porté.

Cette année, rebelote. Le Cedis organise encore sa formation, devinez ?J'espère que nos élus verts ne se sont pas déjà inscrits...

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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 19:47

Sans-titre-1-copie-copie-6.jpgChaque année, la commune préempte, c’est-à-dire entrave une vente privée pour se porter acquéreur obligatoire. Vous voulez acheter un appartement ? Vous devez signaler votre demande en mairie qui peut vous l’acheter sous le nez.

C’est normal quand on veut gérer l’urbanisme de notre ville, me direz-vous peut-être. Non, car le niveau des préemptions enfle pour atteindre des sommets. Plusieurs millions d’euros depuis 2008. Ce n’est plus du contrôle, c’est de l’accaparement. Tout cela pour au bout du compte conserver un patrimoine municipal qui parfois ne sert à rien et se délabre au lieu d’être mis en vente pour renflouer les caisses communales. Par exemple, l’ancienne crèche de la rue du commissariat, l’immeuble de la Bourse du Travail, celui des anciens combattants (en très bon état celui-là), de l’ancienne poste qui abrite des bureaux que l’on pourrait facilement recaser ailleurs, etc..
Que dire aussi, des biens de l’ancien office HLM, Colombes Habitat Public ? Trop souvent vétustes, comme l’ensemble rue de Metz, ou insalubres comme l’immeuble du début de la rue Colbert, etc. Ou encore, des pavillons, comme celui qui, à l’angle du boulevard de Valmy et de la rue de la Fraternité, tombe en ruine.
Pourquoi ne pas vendre un peu ? On voit bien que l’on ne peut entretenir tout ce patrimoine. Cela n’a plus de sens d’acheter autant sans revendre. Il faut stopper la politique dite de la « réserve foncière ».

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25 juin 2011 6 25 /06 /juin /2011 08:26

interco.jpgDes grandes réunions ont été organisées en vue d’expliquer le projet de la municipalité : réunir dans une grande intercommunalité, toujours en 2014, les communes de Bois-Colombes, Clichy, Asnières, Saint-Ouen, Gennevilliers et Colombes. Cette intercommunalité de la « Boucle Nord » surprend par son ampleur, sans lien avec une quelconque logique territoriale ou historique. Pourquoi Saint-Ouen ? Clichy ? Et même Gennevilliers ? Quel projet pourrait-on bien mener avec ses villes ? En revanche, question dépenses, la réponse est claire. Il faudra pour faire vivre ce grand machin, une nouvelle administration, de nouveaux services, de nouveaux locaux, de nouveaux élus, et donc de nouveaux impôts. Pour quel gain ? Aucune idée. On pourrait pourtant faire simple et efficace avec une intercommunalité comprenant Bois-Colombes et La Garenne-Colombes.Mais, non, il faut faire lourd et dispendieux. Pourtant les études montrent le poids de l'intercommunalité à ficalité propre. Le Sénat réagissait ainsi au rapport de l'Observatoire de la décentralisation, en 2006, qui traitait du sujet et faisait un bilan. Un sénateur a même été très clair : "l'intercommunalité coûte cher".

Bien sûr, certains me diront que c'est le Préfet qui décide. Et d'ailleurs, il a établi un schéma départemental de coopération communale, le 27 avril dernier, qui indique clairement son objectif à terme : "une intercommunalité englobant toutes les communes situées au Nord d'une ligne Suresnes/Rueil/Nanterre et regroupant 14 communes du Nord des Hauts-de-Seine." Mais, regrettant de ne pouvoir envisager cela en une étape, il préconise d'abord "la création d'une communauté d'agglomération entre les communes d'Asnières, Bois-Colombes, Colombes, Gennevilliers et Villeneuve-la-Garenne, soit 261690 habitants." Le préfet considère que ce territoire est homogène, car d'un seul tenant (revenenant donc sur le projet de périmètre étendu proposé par Philippe Sarre, dont je parle au début) et possède une caractéristique liée à l'implantation ancienne d'activités industrielles, notamment autour du port de Gennevilliers.... C'est bien mal connaître Colombes que d'écrire un truc pareil ! Comme si notre ville était comparable à Gennevilliers ! Quel avenir on nous promet !

Les Colombiens peuvent et doivent réagir. Le préfet propose, mais les Maires disposent, en la matière. Et surtout en Première Couronne, où on est pas obligé de s'engager dans une intercommunalité à fiscalité propre : donc lourde et synonyme d'impôts. Et pourtant le préfet préconise un projet de la sorte...

Dans les autres villes, les habitants résistent et s'organisent. A Asnières, il est réclamé un référendum local. Je suis d'accord avec cette idée, pour Colombes et pour toutes les communes comprises dans ce périmètre. Le même jour, pour donner du poids à cette consultation.

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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 21:10

rugby.jpgFierté de notre ville, le stade olympique de 1924 construit par le Racing pour les JO, accueille aujourd’hui une des meilleures équipes de rugby en France : le Racing-Métro 92. Mais après cent ans à Colombes, en 2014, le Racing s’en ira à Nanterre.
Le Maire de Colombes, le Président du Conseil Général des Hauts-de-Seine et l’ancienne secrétaire d’Etat aux Sports portent la responsabilité de cet échec historique.
Le président du club Jacky Lorenzetti voulait un grand stade et demandait que les transports soient à la hauteur de cette ambition.
Il n’en aurait pas fallu beaucoup pour que cela soit possible, comme le prévoyait le premier projet en 2008. Les grands perdants ? Les Colombiens. Plus de 7000 signatures avaient été récoltées par le Collectif. Car personne n’a vraiment défendu le Racing à Colombes sauf le Collectif pour le Maintien du Racing à Yves-du-Manoir.
Dernier match à Colombes en 2014.
Et après ? Le président du Conseil Général et le Maire se sont entendus avec la Fédération Française de Handball pour détruire le vieux stade, construire le siège de la Fédération de Handball, une halle de 5000 places et des terrains d’entrainement. Le tout fermé aux Colombiens. Sur le reste des terrains, une opération immobilière comprenant un hôtel, des immeubles et un centre commercial. Le tout pesant autour de 520 millions d’euros, répartis entre les recettes de vente des terrains et les participations publiques du CG et de la Ville. Pour des équipements qui ne seront pas publics !
Les Colombiens participeront en s’endettant. La dette : synonyme de futurs impôts.

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 10:12

lettre1.jpgAprès les Cantonales, et en vue des prochains rendez-vous, je souhaite dorénavant m’adresser à vous, régulièrement, avec une Lettre, en abordant les sujets qui vous intéressent. Elle sera distribuée chez tous les foyers colombiens cette semaine.
Pour quoi cette Lettre ? Il faut dénoncer la manière dont le Maire gère notre ville en l’appauvrissant, en laissant filer nos atouts. Sans hauteur, sans perspective ni ambition, la politique municipale se réduit à laisser faire, à subir, sans anticiper ni imaginer la ville de demain. Quand certaines grandes villes des Hauts-de-Seine se développent grâce à une forte croissance (qui permet de rénover les écoles, améliorer les services publics, la voirie, contenir la pression fiscale, etc..), à Colombes, nous stagnons, et même, nous nous appauvrissons.
Dans ce numéro, nous parlons des impôts. Avec un objectif : "On peut baisser les impôts". Je suis convaincu que c'est une question de choix politique. Un véritable choix et un changement de cap pour notre ville.
Il n’est pas normal que ce soit toujours les mêmes qui paient et toujours les mêmes qui reçoivent. Il est injuste que les quartiers pavillonnaires soient abandonnés, alors qu’ils contribuent le plus, comme il est incompréhensible de constater l’état de notre ville et de ses équipements publics (écoles, etc..) au regard des impôts que nous payons.
Si on choisit la redistribution sociale systématique comme politique publique essentielle, comme l'a fait le Maire, on aboutit à une impasse. D'abord parce que ce choix est idéologique. Il prend comme base de raisonnement que la "richesse" serait un tout, fini, limité ; qu'il faut la répartir "équitablement" grâce à la puissance publique. Je voudrais balayer cette illusion bien vite. La richesse, comme la croissance, est exponentielle, et ne trouve pas de limite. La "redistribution" est un leurre qui au bout du compte mène à la pauvreté généralisée, seul "bien" véritablement susceptible d'être partagé équitablement.

Alors, changeons de politique municipale. Tournons-nous enfin vers la prospérité. Et cessons la confiscation fiscale pour lui préférer l'allégement fiscal, synonyme de véritable renaissance de notre ville.

C'est possible, si nous le choisissons, en arrêtant la politique du court terme, de la confiscation, de l'emprise publique galopante, qui condamne notre commune à stagner au préjudice de tous.

J’ai choisi de développer dans cette Lettre quelques exemples pour illustrer la situation : le stade, l’intercommunalité, les préemptions, le stationnement payant.

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5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 12:00

horodateur2.jpgLe débat a fait rage... Mais la municipalité n'en a cure. Les citoyens se rebiffent... Mais le Maire s'en moque. Et ca y est, leur décision s'applique depuis le 1er juin : les Colombiens doivent payer leur stationnement 250 € par an pour ceux qui veulent obtenir une carte de résident, dans les nouvelles zones marquées. Et les arguments jadis avancés par la municipalité se sont vite périmés face à la réalité : il s'agit bel et bien d'un nouvel impôt à l'encontre des automobilistes, redevables, selon eux, d'une taxe pour l'occupation privée d'un domaine public, en conformité avec leur système idéologique socialiste de gestion de la cité.

Remettons les choses à l'endroit.

Quel principe devons-nous appliquer à la gestion du stationnement dans une ville ? Il faut être clair pour les Colombiens qui nous ferons confiance en 2014.

Eh bien, séparons les choses. Le stationnement sur voirie extérieure publique et les parkings souterrains privés. Les deux sont aujourd'hui emmêlés dans un même contrat de délégation de service public. Ensuite rappelons une évidence.... La liberté de circulation doit être préservée et protégée, voire développée. Je crois indispensable de redire qu'il s'agit pour moi d'une notion fondamentale à défendre et qu'elle implique en engagement collectif.

Donc, première idée : le stationnement sur voirie doit être gratuit, partout. (il l'est pour les vélos ou les piétons, donc il doit l'être pour les voitures). Deuxième idée : les parkings souterrains constituent un complément au stationnement public. Ils sont construits par des organismes privés et doivent être gérés par des privés. Donc payants.

Cette promesse doit être tenue pour 2014. Stationner, c'est circuler. La liberté de circulation ne doit pas être un privilège ou soumise à conditions. Sutout quand on a déjà contribué à payer le bitume sur lequel on gare sa voiture !

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 22:00

untitled.JPGJeudi soir avait lieu un conseil municipal important. Il y avait tant à dire sur les projets en cours, sur les subventions allouées aux associations, sur le stationnement payant, la ZAC de la Marine, les indemnités des élus, etc…
Mais non, la Droite a choisi de se déchirer. Encore une fois. Sur la place publique. Impossible de se contenir, de construire ensemble une alternative soudée et rassemblée face à une majorité qui demeure pourtant elle-même éclatée. Alors, c’est parti : division en deux groupes appelés tous deux UMP ! L’un plutôt Radical, avec Rama Yade, et l’autre plutôt Nouveau Centre, avec Nicole Gouéta. Quelle trouvaille ! Navrant.
Toute la Droite divisée ? Non, car si les deux, voire trois têtes, qui dépassent au sein du conseil municipal se déchirent, il reste les électeurs qui regardent ce triste spectacle, navrés, mais qui, eux, sont bien résolus à s’unir pour contrer la politique de gauche de notre municipalité, faite de clientélisme, de gaspillage, d’appauvrissement et d’assistanat.
Il y avait déjà eu l’épisode des permanences UMP. A Colombes, il y en a trois. Chacune la sienne… Unique en France. Dans le monde ? Il y avait eu aussi les articles du Parisien où l’ancien Maire livrait une violente charge contre Rama Yade. Il y avait eu encore les petites phrases lors de la passation de « pouvoir » entre les présidents de groupe, naguère… Stop ! Les électeurs de Droite n’en peuvent plus.
J’appelle tous ceux qui ont vraiment envie de se mettre au service des Colombiens à se rassembler  pour combattre la politique de la municipalité. Je demande aux deux ou trois « responsables » politiques de cesser leurs divisions et leurs enfantillages qui nuisent à la diffusion de nos idées. Enfin, je fais la promesse de mener jusqu’au bout le combat entamé lors des Cantonales pour que les véritables problèmes rencontrés par les Colombiens soient discutés, exposés et deviennent l’enjeu principal des débats à venir.

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