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Le Racing-Métro 92

 

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28 janvier 2006 6 28 /01 /janvier /2006 14:23

CONSEIL MUNICIPAL DU 2 FEVRIER 2006

 à 19 Heures 30, à l’Hôtel de Ville

 ORDRE DU JOUR

Cliquez sur le lien pour le détail : http://www.mairie-colombes.fr/documents/2006-02-02.pdf

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28 janvier 2006 6 28 /01 /janvier /2006 10:43

La France doit-elle avoir honte
de son passé colonial ?
Qu’est-ce qu’être Français aujourd’hui ?

Les invités d'Arlette Chabot

Etre ou ne pas être Français. C'était le débat de "A vous de juger" sur France 2, jeudi soir. Et on aurait pu croire que tout le monde allait s'étriper en public ! Mais pas du tout ! En fait, Roger Hanin était plus conservateur qu'une Ségolène Royal, Philippe de Villiers d'accord avec Isabelle Badinter, etc...

Qu'est-ce à dire ? Tout le monde serait à peu près d'accord sur la France et le Français? J'ai entendu certains parler de valeurs communes, d'autres de projet commun. Mais tout cela c'est la même chose. C'est l'envie de vivre ensemble sur un même sol. L'Histoire et notre Géographie ont façonné pendant des siècles notre façon de vivre, notre inconscient collectif, notre héritage commun.

Pourtant, un malaise existe. Il est difficile de parler de la France, de la Patrie, etc...Surtout pour un "jeune" de banlieue, selon les invités du plateau. Pour preuve, un beau spécimen est là pour se plaindre et mettre en doute sa nationalité. Tout le monde se met d'accord : Les nouveaux immigrés sont un peu comme des enfants adoptés qui regardent leur mère nourricière comme une étrangère et s'accrochent à une mère naturelle qui ne les a pas reconnu. Ce sont, pour les uns ou pour les autres, soit des enfants un peu perdus, soit des ingrats qu'il faut déshériter.

Ce débat surréaliste a pourtant révélé un moment de vérité. M Baroin, Ministre de l'Outre-Mer, interroge le fameux "jeune"  Français : "Quel age avez-vous ? 26 ans. Avez-vous déjà travaillé ? Un stage ? Un CDD en intérim ? Non, des petits boulots saisonniers. Mais alors, si vous aviez un travail, lui demande malicieusement le ministre, vous sentiriez-vous plus Français ?  Ah oui alors ! Répond celui-ci.

Tout était donc là ! Rien à voir avec la nationalité, le patriotisme, les valeurs de la République, la religion, l'éducation ou la répression. La réponse, c'est l'Emploi. Evidemment.

Cette bataille, essentielle, on vient de le comprendre pour tous les autres domaines - sécurité, éducation,  laïcité, nationalité - est livrée actuellement par Dominique de Villepin. Nous devons la gagner si nous voulons que notre société n'explose pas. La meilleur façon de lutter contre des voitures en flamme, c'est de faire avancer l'emploi et de socialiser les quartiers qui ne le sont pas assez. Le "lien social" est un besoin vital. Si ce n'est pas le pouvoir public qui l'installe, c'est un réseau clandestin qui le mettra en place, substituant sa logique économique, sa loi du plus fort à celle de l'insertion dans la société.

Un Emploi et une Identité. La Banlieue, ça n'est ni sale, ni péjoratif. C'est un territoire autours d'un centre. Grâce à cette position, les expressions sont plus libérées, moins conformistes, plus originales. Un style, un langage, bref une culture. Il faut, non pas l'institutionnaliser, ce qui risquerait de la tuer, mais la reconnaître et promouvoir son développement à travers des lieux créés pour cela. J'ai déjà fait une proposition en la matière : http://denis.butaye.over-blog.com/article-1598050.html. C'est à Colombes que l'on peut situer le champ de bataille qui s'annonce. Sachons déceler les bonnes questions, comme François Barouin, si nous voulons apporter les bonnes réponses.

NB : J'ai mis en italique les passages qui décrivaient le débat télévisé.

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24 janvier 2006 2 24 /01 /janvier /2006 14:23

Voici en avant-première la tribune libre du Groupe "Mieux Vivre à Colombes"

à paraître dans le journal municipal de Février 2006

 

Un nouveau lycée public pour Colombes !

En 2009, l’ensemble des collèges de Colombes sera probablement rénové et  un sixième collège aura ouvert ses portes.

Notre ville disposera ainsi de six établissements d’environ 600 places chacun : une dimension idéale pour développer un projet éducatif attentif aux situations particulières des quartiers, avec tous les moyens pédagogiques nécessaires.

La réalisation de ce programme considérable (près de 100 millions d’Euros en 15 ans), est due à Charles Pasqua et à son successeur, Nicolas Sarkozy, qui ont compris la situation de Colombes et accepté d’affecter  les moyens nécessaires à cet investissement exceptionnel ; Mais aussi à la ville de Colombes et à notre Maire qui mettent à disposition les terrains nécessaires à la construction du futur collège de la rue des Gros Grès.

En ce qui concerne les collèges, Colombes bénéficiera bientôt d’une situation optimale, il n’en va pas de même pour les lycées publics d’enseignement général.

Avec un seul établissement public pour 85 000 habitants, le lycée Guy de Maupassant, très excentré, Colombes est d’évidence sous-équipée.

Le Lycée Guy de Maupassant

 Le groupe « Mieux vivre à Colombes » souhaite que soit étudiée, avec la région Ile-de-France, qui devra en assurer la programmation et le financement, la possibilité d’implanter un nouveau lycée public dans notre ville ou à proximité immédiate.

L’engagement de la région est évidemment essentiel.

Mais il appartient à Colombes ou aux villes riveraines de mettre à disposition le terrain d’accueil. Plusieurs possibilités existent.

Il serait souhaitable que ce nouveau lycée soit en relation avec le centre de Colombes afin de trouver un équilibre entre les établissements Albert Camus (Bois-Colombes), et Guy de Maupassant, qui accueillent tous deux des Colombiens. Il nous semble temps de conduire une large concertation avec tous les acteurs concernés et les habitants des quartiers d’implantation éventuelle afin que le choix résulte d’un large consensus. Ainsi, nous pourrons répondre à cette demande, née du développement de notre ville.

La construction d’un nouveau lycée public permettra aussi de répondre au souhait des familles et au besoin d’accroître le nombre de places dans le secondaire ; en effet, le lycée Albert Camus de Bois Colombes, où est accueillie une partie de nos élèves colombiens, est au maximum de ses capacités.

 

La ville de Colombes et les communes voisines, la Région Ile-de-France et le Rectorat ont toutes les cartes en main pour réussir la création d’un deuxième lycée public d’enseignement général pour notre ville.

La bonne volonté de tous et la mobilisation des familles doivent contribuer à  l’aboutissement d’un projet favorable au développement équilibré de notre ville.

Groupe Mieux Vivre à Colombes

Bruno GOUALLOU, Président du groupe Maire Adjoint UDF

Leila LEGMARA, Maire adjointe UDF

Corinne FEHR, Maire adjointe Parti Radical – UMP

Denis BUTAYE, Conseiller municipal Parti Radical – UMP

Frédéric de CARPENTIER, Conseiller municipal

Gérard CHARLOT, Conseiller municipal UMP

Yannick FARCOULI, Conseiller municipal UDF

Mieuxvivreacolombes@laposte.net

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23 janvier 2006 1 23 /01 /janvier /2006 16:50

L'ancien maire comparaît pour détournement de fonds
• Le Parisien, le 20.01.06

Soupçonné de « détournement de fonds publics », l'ancien maire de Colombes, le communiste Dominique Frelaut, a dû prendre place, hier, sur le banc des prévenus du tribunal correctionnel. Il y était jugé par la 15ème chambre, aux côtés de Jacques Grossard*...

 

* Jacques Grossard est ancien Maire adjoint de Colombes délégué à l'urbanisme et Président de la CODEVAM, organisme paramunicipal d'aménagement. Il siège aujourd'hui comme conseiller municipal de l'opposition.

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22 janvier 2006 7 22 /01 /janvier /2006 10:37

samedi 21 janvier 2006, 18h42, vu sur YAHOO (http://fr.news.yahoo.com)

La popularité de Villepin gagne un point .

PARIS (AP) - La cote de popularité de Dominique de Villepin gagne un point (52%), selon le baromètre Ifop publié dans "Le Journal du dimanche".

Soixante-et-un pour cent des Français sont mécontents de l'action du président de la République, en recul de quatre points par rapport à décembre. Deux pour cent des sondés ne se prononcent pas. Quant au Premier ministre, il recueille 45% d'opinions défavorables (stable). Trois pour cent ne se prononcent pas.

- sondage réalisé par téléphone du 12 au 20 janvier auprès d'un échantillon de 1.864 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. AP

 

 

Soutenons Dominique de Villepin !

Inscrivez-vous sur : colombespourvillepin@laposte.net

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21 janvier 2006 6 21 /01 /janvier /2006 09:52

De Gaulle avait pensé que seul un régime qui pouvait placer un homme au-dessus des partis était en mesure d'assurer une stabilité et une permanence à la France. Il fallait donner une hauteur à la fonction présidentielle. Pour celle à qui il réservait le rôle du barreur de la France mettant cap sur le Monde. Le Président de la République assume cette fonction de capitaine de navire. Le 1er Ministre, second du capitaine, est lui le représentant du Parti majoritaire du moment. En d'autres termes : le Président s'occupe de la France, le 1er Ministre, des Français.

La Vème arrivait après une IVème qui avait vu les gouvernements tomber les uns après les autres, les majorités se faire et se défaire selon les alliances de circonstances. Pourtant des hommes de valeur avaient essayé de sortir du marasme dans lequel on se trouvait : PMF, par exemple. Mais les institutions ne permettaient pas à un homme de s'imposer au dessus de la mêlée des partis, des groupes de pressions, des syndicats et des compromissions d'un jour.

La Vème république, c'est un dosage subtil entre un pouvoir présidentiel (américain) et parlementaire (III ou IVème république).

La France a connu plus de changements constitutionnels que les autres grandes démocraties. Cette expérience avait conduit à réaliser en la Vème une synthèse institutionnelle, reprenant les avantages des uns et rejetant les défauts des autres.

La constitution de 58, ajoutée de l'élection présidentielle au suffrage universel en 1962, se présente dans une lignée historique avec la volonté affichée de réconcilier la France avec son passé : le Président reprend un rôle Impérial (plus que monarchique), l'Assemblée Nationale perpétue le souvenir de 1793 ; le Sénat, de la  chambre des Pairs, etc...

Ainsi, seule, la Vème République assume dans sa constitution l'entière histoire de ses institutions, sans esprit de revanche.

Aujourd'hui, la Vème est à l'agonie. La cohabitation l'a frappé une 1ère fois. La dissolution de 1997, non justifiée et par conséquent détournée, une 2ème fois. Le quinquennat, une 3ème, plus gravement encore, puisque aujourd'hui, (on semble le découvrir !) tout le calendrier électoral qui procédait de la Présidentielle est bouleversé. Au point de donner - comme ça !!? - une année de plus au mandat municipal ou sénatorial !!!

Alors, évidemment, tous se déchaînent contre cet outil malade, dépassé, ancien, etc... Et vive la VIème république ! Certains la voient présidentielle, d'autres parlementaire... Bref, un joli retour en arrière ! Voici venue la revanche des partis contre le système gaulliste !

Pourquoi cette revanche ? Celui qui veut être président demande que cette fonction soit plus forte et celui qui est parlementaire souhaite que son pouvoir s'accroisse. On est finalement loin de la hauteur d'esprit qu'il convient à une nouvelle constitution ! Quand on fait croire à tout le monde que tout va mal, il est facile d'accuser un système ou des groupes pour éviter de parler d'autre chose...

Quels sont les remèdes ? Il faudrait reprendre l'intégralité du calendrier pour rééquilibrer le dosage de départ, c'est à dire une distinction entre les législatives et les présidentielles. Pourquoi pas un mandat de député de 4 ans, renouvelable qu'une fois ? D'autres aménagements de la constitution semblent aussi plus utiles et moins périlleux : la réforme du Sénat. Une Chambre des Régions, sans pouvoir législatif, mais à forte capacité de propositions, serait plus à même de répondre au nouveau découpage de l'Europe et à la Décentralisation. Plus représentative, en somme...Mais est-ce que les parlementaires accepteraient de réformer leur propre mandat ?

Denis Butaye

PS : Aujourd'hui, tous les partis sans exception, appellent à une VIème république. Sauf peut-être encore le Parti Radical...

(http://www.partiradical.net/pages/nos-valeurs/idees.asp)

 NB : retrouvez cet article dans http://5emerepublique.blogmilitant.com.

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18 janvier 2006 3 18 /01 /janvier /2006 10:27

Jean-Philippe posait dernièrement cette question son blog (http://colombes.pense.over-blog.com/article-1465894.html). J'ajoutais un commentaire préconisant la concertation pour une décision qui pourrait être mal comprise, notamment par les commerçants qui jugent la circulation automobile génératrice de clientèle. J'appelais à l'éventualité d'un réferendum de quartier pour trancher la question. Je voudrais m'en expliquer ici :

Aujourd'hui, la situation a changé. Dans quelques jours, l'Ilot 19 va être inauguré. Ilot situé entre la rue du Bournard et la rue Saint-Denis, il propose environ 90 nouvelles places de parking public avec un accès rue du Bournard et une sortie piéton au pieds de la Rue Saint-Denis. Cette nouvelle offre de stationnement va permettre à la clientèle de faire ses courses sans plus se soucier de son stationnement ni craindre d'avoir à transporter ses achats jusqu'au parking de la Mairie (raccordé dans le futur à celui de l'Ilot 19). Cette nouveauté offre des perspectives au débat de la piétonnisation. D'autant que la nouvelle voie traversante (entre Bournard et Saint-Denis) ne sera pas piétonne, par volonté des commercialisateurs.

Penchons nous sur l'application d'un plan de piétonnisation de la rue Saint-Denis. On se rend compte très vite que seuls des tronçons de la rue pourraient être exclusivement dédiés aux piétons (en bleu). Les raccordements (en rouge) entre les rues perpendiculaires devraient évidemment restés accessibles à la circulation sous peine de rendre celles-ci inutilisables.

Cette modification entrainerait deux conséquences :

  1. 1. Le réaménagement global de la voirie de la rue Saint-Denis serait à revoir pour accueillir les piétons confortablement, avec un mobilier rénové, un éclairage repensé, les rues perpendiculaires intégrées dans ce projet.
  2. 2. Il faudrait redéfinir globalement notre projet de centre-ville qui pourrait se tourner vers une nouvelle réalité, anticipée par l'Ilot 19 : les ilots entre Bournard et Saint-Denis sont le centre piéton de Colombes. Un réaménagement concerté avec un projet global permettrait de prévoir une dynamisation du centre-ville sur cette nouvelle base. Et un projet "Ilot 20" pourrait voir le jour. (Ilot du Cinéma, Mac Do)

Mais dans un premier temps, il me faut recueillir votre avis sur ce plan de piétonnisation, certes sommaire, mais clair. S'il vous convient, pourquoi ne pas appeler à la préparation d'un référendum de quartier sur cette base ?

Répondez au sondage "Pour ou Contre ce référendum ?" http://www.pouroucontre.com/cgi-file/vote.cgi?num=46536

Denis Butaye

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14 janvier 2006 6 14 /01 /janvier /2006 15:11

Gustave Bienvêtu au Musée de Colombes jusqu'au 18 mars 2006, c'est l'occasion de découvrir un Colombien, grand peintre de fleurs. Et en plus, c'est gratuit !

Pour plus d'informations : http://www.mairie-colombes.fr/loisirs_detente/bienvetu.htm

 

 

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14 janvier 2006 6 14 /01 /janvier /2006 14:28

Colombes possède un lien avec la A86 qu'il faudrait approfondir. Nanterre, Villeuneuve La Garenne ou encore Rueil ont déjà mis à profit le passage de cet axe majeur de la circulation francilienne : 110 à 140 000 véhicules par jour ! Le tunnel de Rueil et la connection avec la partie Sud sont en passe d'être finalisés. Ce qui ajoutera d'autant au flux d'automobilistes.

Quel axe de réflexion ? A Colombes, le lien avec son autoroute est depuis toujours vécu comme une contrainte. La A86 ? Qu'est ce que c'est pour un colombien ? Un fossé entre son parc Pierre Lagravère et son tissu urbain naturel. Une passerelle piétonne a donc été jetée par dessus pour favoriser une circulation entre les deux. Un enfouissement a même été envisagé. Pourtant cette autoroute pourrait résoudre plusieurs problèmes au lieu d'être une difficulté contre laquelle il faudrait lutter.

Une zone semi-industrielle, semi-commerciale existe aux Grèves, c'est la Zone Industrielle de la Plaine. Elle s'ouvre depuis le boulevard Charles de Gaulle par l'enseigne Kiloutou et s'étend un peu au delà de la rue de Seine. Elle comprend des PME et PMI qui n'ont que très peu de liens avec Colombes.

Ma proposition consiste à créer un centre commercial thématique comme le concept "Quai des Marques" qui prospère dans le 95 ou le 92. Ce centre assurerait sa vitalité de sa visibilité et de son accès facile depuis la A86, permettrait de proposer un emploi peu qualifié mais hautement valorisant à des dizaines de personnes et apporterait un dynamisme à ce quartier.

Quai des Marques à Franconville

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14 janvier 2006 6 14 /01 /janvier /2006 12:07

La culture se doit d'être soutenue par des projets ambitieux pour réussir à s'imposer dans un monde de communication et de publicité.

Seule une coopération entre les municipalités peut parvenir à faire émerger des opérations sufisamment importantes pour toucher un public large et peu enclin à se mobiliser.

Il existe pourtant des axes de réflexion qu'il serait utile de développer. En voiçi déjà deux :

- La crise des banlieues nécessite (aussi) une réponse culturelle. Un Centre culturel de la Banlieue regroupant un musée, une médiathèque, une pinacothèque, des salles d'expositions, de spectacles, de réunion, etc... pour affirmer une authentique identité de banlieue et permettre un expression dégagée de la violence, serait un axe de réflexion propre à être le sujet d'un projet intercommunal.

- D'autre part, la mise en synergie des différents équipements culturels des villes comme Bois-Colombes, La Garenne-Colombes, Colombes, Asnières, Gennevilliers et Nanterre accompagnerait utilement les utilisateurs qui ne s'arrêtent pas aux frontières administratives communales pour aller voir un spectale ou écouter un concert. Une communication concertée, une carte commune, un plan d'ensemble permettraient de réaliser des économies et de ne pas entrer dans des compétitions stériles tout en rationnalisant une offre culturelle en adéquation avec son public.

Alors, proposons la mise en place d'un groupe de travail composé des différents adjoints au maire chargés de la culture, non pas réunis par des critères administratifs ou politiques mais par la volonté de faire émerger un projet commun, nouveau ou destiné à rendre plus efficace l'ancien.

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